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Ambronay exhume Télémaque et Calypso de Destouches

Elodie Martinez

Ce vendredi, le festival d’Ambronay proposait une redécouverte de Télémaque et Calypso de Destouches en recréation mondiale – après sa Sémiramis il y a cinq ans, recréée avec le même ensemble. Nous retrouvions donc Les Ombres, dirigés par Margaux Blanchard et Sylvain Sartre à l’Abbatiale d’Ambronay pour une belle aventure musicale et la poursuite de la (re)découverte de ce compositeur...


Le chef Victorien Vanoosten, seigneur des Pêcheurs de perles à...

Thibault Vicq

Nouvelle saison, nouvelle production. Le schéma bien connu s’applique également à l’Opéra national du Capitole de Toulouse, qui a la particularité, pour ses Pêcheurs de perles de rentrée, de réunir ses trois forces motrices maison (les excellents Orchestre, Chœur et Ballet). On en viendrait même à oublier qu’un metteur en scène (et chorégraphe) a participé au spectacle,...


Bruno de Sá au festival d'Ambronay : une voix fascinante

Elodie Martinez

Bien qu’endeuillé par le décès brutal d’Alejandro Meerapfel la veille au soir, le festival d’Ambronay s’est poursuivi samedi, exprimant la force de la musique et son pouvoir rassembleur. Après quelques mots rapidement prononcés en prémices du spectacle, nous nous retrouvions donc devant cette même scène pour un récital en compagnie de Bruno de Sá (que nous rencontrions en août 2022), Dorothee...


Les Boréades au Théâtre des Champs-Élysées : le son des dieux

Thibault Vicq

Paix et censure ne font pas nécessairement bon ménage quand on est musicien officiel de la cour. Les Boréades est finalisé par Rameau en 1763 pour célébrer le traité mettant un terme à la guerre de Sept ans, conflit européen qui a asséché pendant autant de temps le budget de la création musicale. C’est donc un événement pour le compositeur, qui n’est pas revenu à la...


Le point de vue d’Alain Duault : À l’Opéra de Paris, Lohengrin...

Alain Duault

Opéra romantique dans ce qu’il a de plus exaltant, Lohengrin se situe dans la filiation des opéras de Weber, donnant une large place aux grandes périodes de chant, à la plastique du chant, commençant à déployer le tissu orchestral et l’assomption d’un espace où va peu à peu se développer la couleur symphonique propre à Wagner, sa signature sonore si reconnaissable. Le Prélude, avec cette...


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