Chronique à la une

Filtrer

Toutes les chroniques

Maria de Buenos Aires à Lyon : le spleen et l’idéal

Elodie Martinez

Samedi sonnait la Première de Maria de Buenos Aires à l’Opéra de Lyon, une nouvelle production en partenariat avec le Festival des Nuits de Fourvière qui l’a créée le 24 juin dernier. La mise en scène et les décors sont signés par Yaron Lifschitz, qui dirige ici les acrobates de la compagnie Circa et deux danseuses du Ballet de l’Opéra (Abril Diaz et Anna Romanova) en plus des deux solistes...


Chronique d'album : "Mo3art", d'Elsa Dreisig

Elodie Martinez

Après un premier disque en 2018, Elsa Dreisig proposera dès le 28 janvier prochain – toujours chez Erato – un nouvel enregistrement intitulé Mo3art qui présente d’une part les trois opéras que le compositeur a signé avec le librettiste Da Ponte, et d’autre part trois de ses opere serie. La soprano y est accompagnée du Kammerorchester Basel placé sous la direction de Louis Langrée. Il est vrai que,...


Sébastien d’Hérin ranime Circé (de Desmarest) à l’Opéra Royal ...

Thibault Vicq

Les reports liés à la Covid finissent toujours par arriver. D’abord prévu en mars 2020 dans le programme des 250 ans de l’Opéra Royal du Château de Versailles, Circé d’Henry Desmarest (également orthographié Desmarets) vient enfin nous procurer les charmes qu’il nous avait promis, dans sa première restitution depuis sa création. Sébastien d’Hérin, cofondateur de l’ensemble...


Un Postillon de Lonjumeau vivant et rafraîchissant au Tiroler ...

La Rédaction

Le Postillon de Lonjumeau d'Adolphe Adam - Festival d'hiver d'Erl (Tyrol), 5 janvier 2022 L’édition hivernale du Tiroler Festspiele fait front contre la pandémie et propose à son public le plus fidèle une soirée d'opéra à la fois enthousiasmante et très divertissante. Le Postillon de Lonjumeau est l'un des nombreux opéras d'Adolphe Adam, injustement tombé dans l'oubli. Le compositeur...


Une Alcina transfigurée par la musique au Palais Garnier

Thibault Vicq

L’Alcina de Robert Carsen avait charmé notre confrère en 2014 à l’Opéra national de Paris. Pour sa reprise au Palais Garnier (par Christophe Gayral), nous avons peine à y valoriser avec conviction autre chose que les lumières de Jean Kalman. Éluder la magie de l’Orlando furioso derrière les portes closes d’un morne drame bourgeois sur lit Ikea fait vaguement hausser des épaules en 2021. Entre une...


Les chroniqueurs d'Opéra Online