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Il Xerse de Francesco Cavalli ressuscité à Martina Franca

Emmanuel Andrieu

Aux côtés de deux ouvrages proposés en version de concert de Beatrice di Tenda de Bellini (nous y étions) et de La Scuola dei gelosi de Salieri (nous y reviendrons), deux opéras sont donnés en version scénique au 48ème Festival della Valle d’Itria : Le Joueur de Prokoviev dans sa version originale française et Il Xerse de Francesco Cavalli, dans une nouvelle édition critique. Rappelons que l’ouvrage fut...


Ludovic Tézier et Gianandrea Noseda, souverains d’Un bal masqu...

Thibault Vicq

Au Verbier Festival, paysages alpins et stars de la musique s’alternent dans notre champ de vision et d’écoute. La grande structure de la Salle des Combins accueille une version de concert d’Un bal masqué de Verdi, avec ce qu’il faut de voix palpitantes et même, comme quelques jours plus tôt pour Don Giovanni, une mise en espace à partir d’écrans. Commençons par cet élément, qui constitue le...


Le triomphe de Giuliana Gianfaldoni dans Beatrice di Tenda de ...

Emmanuel Andrieu

Pour sa 48ème édition, le Festival Internazionale della Valle d’Itria n’a pas été épargné par la septième vague de Covid. Fabio Luisi, directeur musical de la manifestation apulienne, a ainsi dû laisser la place au jeune et sémillant chef italien Michele Spotti (récemment interviewé dans ces colonnes) qui a eu moins d’une semaine pour apprendre la partition de l’avant dernier...


Un Requiem de Mozart magnifié par Sir Simon Rattle au Verbier ...

Thibault Vicq

Les coups de théâtre ne manquent jamais, chaque été au Verbier Festival. Il y a les changements de programme, comme ce soir la transformation du concerto pour piano de Mozart initialement prévu pour la première partie, en Concerto de Schumann, ainsi que la suppression de l’Ave verum corpus. Le cœur du concert demeure cependant le Requiem de Mozart, inchangé. Il y a aussi les (luxueux) remplacements d’artistes : et...


Le point de vue d’Alain Duault : un Moïse et Pharaon politique...

Alain Duault

On attendait beaucoup de ce Moïse et Pharaon, opéra peu joué de la fin de la carrière lyrique de Rossini, créé en 1827, deux ans avant son ultime Guillaume Tell. Adapté pour Paris de son Mosè in Egitto créé neuf ans plus tôt au San Carlo de Naples, c’est un ouvrage un peu hybride. Est-ce un opéra politique ou un oratorio ? Est-ce l’histoire d’un peuple ou l’histoire de personnages...


Les chroniqueurs d'Opéra Online