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A Lyon, une Belle au bois dormant qui n’a rien de soporifique

Elodie Martinez

Tout le monde connaît le conte de la Belle au bois dormant dont l’origine la plus fameuse reste sans doute le texte de Perrault (aux côtés de celui des frères Grimm), avant qu'il ne soit popularisé par la version de Walt Disney en 1959. L’opéra de Respighi date pour sa part de 1922 et son livret (signé Gianni Bistolfi) s’inspire principalement de Perrault. Toutefois, le dénouement en est très...


L'Opéra de Lille reprend l'hilarant Roi Carotte d'Offenbach si...

Emmanuel Andrieu

Après avoir triomphé sur la scène de l’Opéra de Lyon en 2015, la production du Roi Carotte de Jacques Offenbach signée par Laurent Pelly reprend du service à l’Opéra de Lille, pour le plus grand bonheur de votre serviteur et d’un public lillois qui a bruyamment manifesté sa joie à l’issue de le soirée. Nous ne reviendrons pas sur les qualités du spectacle que nous avions longuement...


Speranza Scappucci exalte Carmen à l'Opéra Royal de Wallonie

Emmanuel Andrieu

C’est une Carmen dans sa version avec dialogues parlés qu’a retenu l’Opéra Royal de Wallonie, et le fait est suffisamment rare pour qu’il soit évoqué ici. Pour la proposition scénique, Stefano Mazzonis Di Pralafera est allé chercher le metteur en scène allemand Henning Brockhaus qui transpose l’histoire de la gitane dans l’univers du cirque : c’est ainsi à dos d’éléphant...


Matthias Goerne en récital à la Cité de la musique : la savour...

Thibault Vicq

Après les deux anniversaires fêtés cette semaine par l’Opéra national de Paris pour sa saison 2018-2019, c’est deux cent vingt et une bougies que nous soufflions en plus petit comité pour Schubert en ce 31 janvier, à la Cité de la musique, avec le baryton Matthias Goerne et le Kammerorchester Basel. Et aussi celui de Mozart, pour ne pas faire de jaloux, avec quatre jours de retard (il est du 27 janvier). Le programme...


Un Rinaldo de Haendel mirifique conquiert le public d'Angers N...

Emmanuel Andrieu

Créé au Queen’s Theatre de Londres en 1711, Rinaldo fut probablement le plus grand succès de Georg Friedrich Haendel de son vivant. Souvent repris au cours des années suivantes, il fut plusieurs fois remanié, selon les exigences et la disponibilité de tel ou tel chanteur. Confié en 1711 au sopraniste Niccolini, le rôle-titre fut, par exemple, incarné en 1731 par un autre castrat, Senesino, qui chantait en alto ; Argante,...


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