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Moïse et Pharaon à Pesaro : la musique par sublime KO

Thibault Vicq

On ne peut pas se réjouir uniquement au fait d’assister à un ouvrage aussi rare que Moïse et Pharaon ou le passage de la mer morte, tant ce chef-d’œuvre exige la crème de la crème de la distribution vocale, du chœur (extrêmement sollicité), et peut-être même encore davantage de la direction d’orchestre. L’écriture de ces quatre actes ne sonne pas juste du fait de la jouer ou de la battre...


Davide Livermore signe une Bohème picturale au Circo Massimo d...

Emmanuel Andrieu

Aux côtés d’une Butterfly transposée dans un bidonville (par Alex Ollé), le Circo Massimo de Rome accueillait un autre des chefs d’œuvre de Giacomo Puccini, une Bohème mise en scène par le plus classique et sage Davide Livermore, qu’il avait signée pour les Thermes de Caracalla en 2014. Le directeur de l’Opéra de Valencia (depuis 2015) annonce d’ailleurs la couleur dans ses notes d'intention :...


Il signor Bruschino à l’abordage du Rossini Opera Festival de ...

Thibault Vicq

En 2020, le Rossini Opera Festival revenait en quelque sorte aux sources avec une nouvelle production – la seule possible en cette « année zéro » – de La cambiale di matrimonio, première composition opératique de Rossini pour la scène. Il signor Bruschino, la cinquième et dernière farsa de Rossini pour Venise et l’une des trois productions inédites de ce cru 2021, nous raconte la suite de...


Javier Camarena clôture (en majesté) la 35ème édition du Festi...

Emmanuel Andrieu

Après que les plus grands noms du monde lyrique se sont succédé à la 35ème édition du Festival Castell Peralada (Jonas Kaufmann, Benjamin Bernheim, Sondra Radvanovski…), la prestigieuse manifestation catalane s’est achevée, le 1er août, par un Gala lyrique mettant à l’affiche le magnifique ténor mexicain Javier Camarena. Si, trois étés plus tôt, il avait dû se contenter de la...


Rafael Villalobos complexifie à outrance Orlando de Haendel au...

Emmanuel Andrieu

Enfant terrible de la scène espagnole, le jeune Rafael R. Villalobos officie cette fois dans son pays – après sa déroutante Tosca bruxelloise en juin dernier –, au prestigieux Festival Castell Peralada, où Oriol Aguilà l’a invité à monter Orlando de Georg Friedrich Haendel. Avec cette fois une extraordinaire économie de moyens (une table, une machine à écrire et des livres !), avouons que nous...


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