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Le Trouvère à l’Opéra de Paris : routine et flamboyance
Laurent VilaremIl aura suffi de quelques secondes pour que Sondra Radvanovsky réveille la routine d’un Trouvère de répertoire et que l’opéra redevienne l’art aux passions exacerbées que nous aimons. Avec l’opacité qui est la sienne (une fâcheuse habitude concernant ses relations avec le public), l’Opéra de Paris n’avait laissé aucune indication concernant le bon déroulement de la soirée. La...
Doublé bartokien (gagnant) au Théâtre Royal de la Monnaie
Emmanuel AndrieuC’est une riche idée qu’a eu le Théâtre Royal de la Monnaie de Bruxelles de coupler, dans une soirée Bela Bartok, Le Château de Barbe-Bleue (écrit en 1911) et Le Mandarin merveilleux (créé en 1926). Aussi éloigné soit-il dans le temps par rapport à l’opéra de jeunesse du compositeur hongrois, ce ballet n’en incarne pas moins une sensibilisation aiguë à un univers sonore...
Le Théâtre du Capitole finit sa saison en beauté avec une enth...
Emmanuel AndrieuSalle comble et accueil enthousiaste pour la reprise – en clôture de saison – de cette Clémence de Titus de Wolfgang Amadeus Mozart, dans une production signée par David McVicar, créée en juillet 2011 au Festival d’Aix-en-Provence, et déjà présentée in loco au Théâtre du Capitole il y a quatre ans, la maison occitane ayant coproduit le spectacle. Le cadre conçu par l’homme de...
Un Don Giovanni sans passion clôt la saison lyonnaise
Elodie MartinezPour clôturer sa saison, l’Opéra de Lyon a l’habitude de proposer une œuvre enlevée, voire accessible au plus grand nombre (on se souvient encore du truculent Viva la mamma ! mis en scène par Laurent Pelly l’an passé). Cette année, le choix s’est porté sur un classique mozartien qui pouvait laisser présager un moment léger : Don Giovanni, d’autant plus que la production est...
Un Eugène Onéguine en manque de lyrisme à l'Opéra national du ...
Emmanuel AndrieuAprès un Werther énigmatique en début d'année, l’Opéra national du Rhin achève sa saison avec un Eugène Onéguine encore plus abscons, distillant au final pas mal d’ennui, malgré les images prégnantes que forment les trois différents décors (signés Jamie Vartan) : le salon austère des Larine, plongé dans la pénombre et jonché de seaux car la maison prend...
Un Joueur de Prokofiev peu lisible mais bien chanté à l'Opéra ...
Emmanuel AndrieuSans l’humour et la palette harmonique de L’Amour des trois oranges, Le Joueur - composé entre 1915 et 1917 puis révisé en 1929 avant sa création (en français) à La Monnaie de Bruxelles - possède les qualités que Sergueï Prokofiev affirmait rechercher dans son écriture : la simplicité et la clarté dans l’expression des idées. Dans l’adaptation de la nouvelle éponyme...