Chroniques liées à Joyce DiDonato

Streaming : la Maria Stuarda de Joyce DiDonato fait chavirer l...

Emmanuel Andrieu

Alors qu’ils proposaient hier soir Anna Bolena avec Anna Netrebko (nous en rendions compte en propos d’avant-concert dès hier), les Nightly Met Opera Streams poursuivront la Trilogie Tudor de Gaetano Donizetti, ce soir 28 avril, en programmant Maria Stuarda avec Joyce DiDonato dans le rôle-titre. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, l’ouvrage n’avait encore jamais été donné au Metropolitan Opera au moment de...


Chronique d'album : une Agrippina cinq étoiles chez Erato

Elodie Martinez

Vendredi paraîtra chez Erato (Warner Classics) un nouveau coffret dédié cette fois-ci à Agrippina, l’un des chefs d’œuvres de Haendel. La maison de disque prend décidément l’habitude de nous gâter avec une distribution qui relève une fois encore du luxe : Joyce DiDonato dans le rôle-titre, mais aussi Franco Fagioli, Elsa Benoît, Jakub Józef Orliński, Carlo Vistoli, Luca Pisaroni ou...


Chronique d'album : La Damnation de Faust chez Erato

Elodie Martinez

En 2017, le Palais de la Musique et des Congrès de Strasbourg donnait un concert d'anthologie des Troyens, qui faisait l'objet d'un enregistrement paru ensuite dans un impressionnant coffret faisant aujourd'hui figure de référence (édité chez Erato). La même équipe de production réitère en cette année 2019, toujours avec Berlioz mais cette fois autour de La Damnation de Faust : en avril...


Joyce DiDonato et Antonio Pappano à Saint-Denis : une rencontr...

Thibault Vicq

Dans l’histoire de la musique lyrique, songer à Jeanne d’Arc téléporte chez Verdi ou Honegger, chez Tchaïkovski ou Gounod. Quelques autres ouvrages se sont perdus en chemin, oubliés par le public ou les théâtres. La courte cantate pour voix seule de Rossini, écrite en 1832 avec accompagnement au piano, reçoit les honneurs d’une orchestration par Salvatore Sciarrino au moment du Festival Rossini de Pesaro en 1989....


Maxim Emelyanychev élève Agrippina en idéal musical au Théâtre...

Thibault Vicq

Haendel a élaboré Agrippina pendant la dernière partie de son séjour en Italie. En fin observateur de la musique locale au début du XVIIIe, il rédige une copie étincelante, mâtinée d’innovantes saillies. Synthèse de l’opera seria, injectant une saveur nouvelle aux sonorités de l’orchestre tout en conservant la structure formelle de rigueur, cet opéra de jeunesse fera sa renommée...