Espace chroniqueur

Thibault Vicq

S_avatar

Vicq

Thibault

Paris

France

Chroniqueur depuis le 17 mars 2017

Toutes ses chroniques .422

Les Fantômes de Versailles : ectoplasmes léthargiques à l'Opér...

Thibault Vicq

  Les Fantômes de Versailles, Opéra Royal de Versailles ; © Karli Cadel  Les Fantômes de Versailles de John Corigliano, créé en 1991 au Metropolitan Opera pour le centenaire de l’institution new-yorkaise, appelait par son seul titre des représentations à l’Opéra Royal du Château. Son sujet – Beaumarchais faisant revivre Figaro, Suzanne, Chérubin, Almaviva et Rosina, du...


Annick Massis et Antoine Palloc : l’Italie conteuse et contée

Thibault Vicq

Il aura fallu un Cyber Monday pour qu’Annick Massis revienne à Paris, deux ans après son dernier passage à Éléphant Paname. Les prix cassés du Black Friday n’auraient eu aucune importance : son récital affichait déjà complet ! Une fanbase installée, un public qui venait pour elle et non pas uniquement pour l’appréciable rendez-vous mensuel de l’Instant Lyrique… Beaucoup...


Hamlet de Brett Dean à l’Oper Köln : la saisissante longévité ...

Thibault Vicq

  Hamlet, Oper Köln ; © Paul Leclaire En 2017, l’Angleterre consacrait Shakespeare à travers deux premières mondiales d’opéras un an après le quadricentenaire de la mort du dramaturge : par l’English National Opera (The Winter’s Tale, chroniqué depuis Londres), puis le Festival de Glyndebourne (Hamlet, qui nous intéresse à présent). Dans cette deuxième adaptation, mise en...


Les Noces de Figaro au Théâtre des Champs-Élysées : le sage ba...

Thibault Vicq

Pour un réalisateur de cinéma, trouver son premier emploi en tant que metteur en scène d’opéra n’est pas une mince affaire. On peut viser court en s’attaquant à un versant du Triptyque de Puccini, comme l’a fait Woody Allen pour Gianni Schicchi en 2008 au LA Opera (repris l’été dernier au Teatro alla Scala), ou bien se casser les dents sur un épisode de la trilogie populaire de Verdi, à...


Juan Diego Flórez, le bienheureux à la Philharmonie de Paris

Thibault Vicq

Juan Diego Flórez a raison de sourire à pleines dents : sa carrière triomphante reste au beau fixe. Après avoir rendu son nom indissociable des interprétations de Rossini et Donizetti, il consacre un nouveau disque à Verdi, dont il avait jusqu’à alors uniquement enregistré Rigoletto à Dresde en 2008, et gravé la Messa solenne en 2010. Il y a tout pile quatre ans, le ténor péruvien...