Espace chroniqueur

Thibault Vicq

S_avatar

Vicq

Thibault

Paris

France

Chroniqueur depuis le 17 mars 2017

Toutes ses chroniques .421

The Time of Our Singing, captivante et instructive création à ...

Thibault Vicq

Traiter des droits civiques et de la ségrégation raciale aux États-Unis sur fond de relativité du temps au moyen d’une chronique familiale et musicale, c’était l’acrobatie internationalement reconnue de Richard Powers dans son roman Le Temps où nous chantions, aujourd’hui adapté en opéra sur la scène de la Monnaie. Contrairement au livre, la quatrième œuvre lyrique de Kris...


Un Lac d’argent déjanté à l’Opéra Ballet de Flandre

Thibault Vicq

  Der Silbersee, Opera Ballet Vlaanderen ; © Annemie Augustijns Si nous connaissons la collaboration de Kurt Weill avec Bertolt Brecht, celle avec Georg Kaiser n’en est pas moins notable. Dans Le Lac d’argent – leur quatrième travail commun –, la composition s’est « simplement » rattachée au texte de la pièce (existante) du dramaturge, n’appelant que très peu de modifications...


Bryn Terfel, Beethoven et Celtie avec l’Orchestre national de ...

Thibault Vicq

Pour sa septième saison en tant que directeur musical de l’Orchestre National de Bretagne, le Gallois Grant Llewellyn réunit les talents de son compatriote Bryn Terfel, du Galicien Carlos Núñez et du Breton Benoît Menut pour un sagace programme dont la clé de voûte est la Septième Symphonie de Beethoven. Les quatre mouvements de cette dernière sont entrecoupés d’autres pièces qui révèlent...


Guerre et Paix « déconté » au Grand Théâtre de Genève

Thibault Vicq

À l’origine, il y avait Guerre et Paix, le roman monument de Tostoï, couvrant une action de 1805 à 1820 sur fond de guerres napoléoniennes. Puis arriva Guerre et Paix, l’opéra bloc en treize tableaux que Prokofiev et sa seconde épouse Mira Mendelssohn (au livret) ont finalisé en douze ans, la faute à la censure soviétique un peu susceptible et mégalomane… Un emblème national de la...


Iphigénie en Tauride au Palais Garnier, toujours essentielle

Thibault Vicq

Après une ouverture de saison avec les Seven Deaths of Maria Callas vues par Marina Abramovič, l’Opéra national de Paris troque la légende pour le mythe : celui des Atrides, dans la reprise de l’Iphigénie en Tauride imaginée par Krzysztof Warlikowski. Pour sa première mise en scène d’opéra en 2006, l’homme de théâtre avait essuyé de très nombreuses huées. Quinze ans plus tard,...