Chroniques liées à Kseniia Proshina

Zaïde de Mozart, complété à l’Opéra de Rennes

Thibault Vicq

Dans le film The Dark Knight Rises, en 2012, Marion Cotillard avait été raillée sur les internets (avec le fameux mot-dièse #dyinglikemarioncotillard) pour son jeu plus qu’approximatif au moment de la mort de son personnage. Le principal responsable de ce fiasco de quelques secondes n’était tout autre que son réalisateur Christopher Nolan, qui n’a pas su diriger son actrice au moment voulu. Dans la version 2023 de Zaïde de...


À l’Athénée, un Couronnement de Poppée sans chair

Thibault Vicq

Il Nerone, c’est le luxueux lot de consolation des Parisiens en 1647 par une troupe vénitienne « montée » à la capitale pour présenter un Orfeo de Luigi Rossi finalement impossible à concrétiser en raison de nombreux retards. Stefano Costa, membre du collectif et créateur du rôle de Nerone dans Le Couronnement de Poppée, opte pour ce dernier chef-d’œuvre de Claudio Monteverdi dans une...


L’Académie de l’Opéra national de Paris chante (encore) Mozart

Thibault Vicq

Après entre autres une version concertante de La Giuditta de Scarlatti à la Grange au Lac et une production de L’isola disabitata de Haydn à l’Opéra de Dijon, les artistes de l’Académie de l’Opéra national de Paris continuent leurs actifs périples scéniques avec le traditionnel gala de début d’année au Palais Garnier. À la veille de nouvelles Noces de Figaro sous le plafond de...


Le Viol de Lucrèce au Théâtre des Bouffes du Nord, par l’Acadé...

Thibault Vicq

Au sortir de la Seconde Guerre mondiale et après son premier essai lyrique flamboyant (Peter Grimes), Benjamin Britten se lance dans l’opéra de chambre avec Le Viol de Lucrèce : huit chanteurs et treize instrumentistes pour illustrer les coulisses intimes de la guerre de Rome (pendant l’invasion étrusque) contre Athènes. Le Viol de Lucrèce, Académie de l’Opéra national d Paris; ©Studio...


Le bel art de Mozart avec l’Académie de l’Opéra national de Paris

Thibault Vicq

La saison 2020-2021 de l’Opéra national de Paris devait s’ouvrir avec 7 Deaths of Maria Callas, finalement créé il y a quelques jours à la Bayerische Staatsoper. Mais c’est finalement Mozart (une valeur sûre), et qui plus est par l’Académie de l’Opéra national de Paris (valeur tout aussi sûre), qui s’en charge à l’Amphithéâtre Bastille. Trois jours avant que Philippe Jordan...