Chroniques liées à Marianne Crebassa

Festival de Salzbourg : une réécriture audacieuse de Titus, qu...

Ilana Walder-Biesanz

Dans la nouvelle production de La Clémence de Titus de Peter Sellars, dès que Sesto dit traditor (« traitre ») dans son final du premier acte recitativo accompagnato, les surtitres affichent « terroriste ». On pourrait y voir un détail insignifiant, et pourtant c’est significatif de la réécriture audacieuse opérée par Peter Sellars et Teodor Currentzis de l’opéra de Mozart. La...


L’humeur d’Alain Duault : Fantasio sans fantaisie à l'Opéra Co...

Alain Duault

On allait voir Fantasio avec l’envie d’aimer. Un presque inédit d’Offenbach que le patient travail de bénédictin offenbachien de Jean-Christophe Keck avait fait renaitre, une distribution jeune et brillante, un metteur en scène qui a su donner à voir des choses étonnantes au théâtre – et la réouverture de l’Opéra- Comique, ce théâtre au charme inentamé : oui, tout...


Salle Gaveau : Marianne Crebassa en récital, un véritable régal

Elodie Martinez

Ce lundi soir, la Salle Gaveau accueillait Marianne Crebassa entre deux représentations milanaises alors que vient de sortir son premier album chez Erato, Oh Boy! (regroupant les grands rôles de travestis du répertoire), et qu’elle triomphe sur chacune des scènes qu’elle foule, que ce soit dans L’Enfant et les sortilèges à la Scala, Dorabella dans Cosi fan tutte à Montpellier ou à Marseille, sans oublier son...


Le diptyque L’Heure espagnole - L’Enfant et les sortilèges à L...

Raffaele Mellace

L’Heure espagnole et L’Enfant et les sortilèges de Ravel n’avaient pas été présentés sur la scène de La Scala depuis presque 40 ans, en 1978, alors que le diptyque était confié à la baguette de George Prêtre. Leur retour sur la scène scaligère dans la production du Festival de Glyndebourne de 2012 (reprise lors de l’édition 2015) a été chaleureusement accueilli...